humour

Après de longs mois d'absence (je t'ai entendu, toi qui a dit "elle ne fait QUE des articles après de longs mois d'absence...") je reviens avec un nouvel article que j'ai écrit en 1978 mais que je n'ai jamais publié parce que j'ai globalement du mal à donner des conseils, même si au fond, c'est un peu ça que je fais ... On va se pencher sur ton matricule de base arrière. Tu me suis ?

En 2019, j'écrivais mon premier article sur mon arrivée dans un lotissement d'un village de 1500 habitants environ en banlieue d'une ville moyenne française.

Il est temps de faire le bilan de cette "aventure" (ahah) car elle touche à sa fin !

Je vous propose un petit article sur un syndrome qu'on évoque trop peu dans les familles de militaire. Il est grand temps qu'on rétablisse la vérité. Marre des tabous, des secrets.

J'ai quelques années d'expériences, et je peux vous dire que niveau "maux du métier", je commence à m'y connaitre. Je vous invite à découvrir ce mystérieux syndrome, le syndrome de Fantomas, un des nombreux effets secondaires de la vie de famille de militaire.

La Réflexiothécaire aime le classement. Elle rassemble pour vous, aujourd'hui, une typologie, qui nous l'espérons, vous aidera à mieux vous situer dans le world wide web.

La vie de "femme de" militaire, c'est vraiment un truc magique. Quoi ? Vous ne me croyez pas ? Vous êtes jalouses ?

1. La volonté, du caractère, de l’indépendance et de la force mentale : C’est bon, il faut en manger beaucoup.

2. Vivre ma vie de femme dans les années 2000 avec les mails, les textos, les webcams, c’est une chance énorme … sauf quand il est dans le fin fond du désert quoi.

3. Disons que je me sens quand même vachement mieux quand il n’est pas trop loin, … genre dans la cuisine..

4. A force, je sais faire parler un muet, faire écouter un sourd et faire voir un aveugle.